dimanche 16 mars 2008

AMOURS FRAGILES - Le dernier printemps

1932. L’Allemagne traversait une crise sans précédent. Mon père, comme de nombreux compatriotes, voyait en Hitler le seul homme capable de la redresser. Je désapprouvais en silence... C'est à cette époque que Katarina vint habiter en face de chez nous. Je découvris des sentiments inconnus jusqu'alors... Les choses auraient pu être simples, s'il n'y avait eu ma timidité et, surtout, l'arrivée des Nazis au pouvoir...

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